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Le succès grâce à l’innovation mondiale : Indice mondial de l’innovation 2016

Octobre 2016

Catherine Jewell, Division des communications de l’OMPI, et Sacha Wunsch-Vincent, Division de l’économie et des statistiques de l’OMPI

L’innovation mondiale est bénéfique à tous.  C’est le message de l’Indice mondial de l’innovation 2016, la dernière édition de l’étude annuelle sur l’innovation menée par l’OMPI en collaboration avec l’Université Cornell et l’INSEAD.

Consacré à la question “Le succès grâce à l’innovation mondiale”, l’Indice mondial de l’innovation 2016 exhorte les gouvernements à favoriser des investissements cohérents en matière d’innovation et de recherche.  Les conclusions de cette étude suggèrent qu’une nouvelle culture d’innovation de l’entreprise, établie sur la base de nouveaux partenariats et plateformes d’innovation, a un potentiel important pour induire une croissance économique à long terme.

Infographies

Infographic: In a perfect world for innovation, who would do what?

Dans un monde parfait en matière d’innovation, qui ferait quoi?

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Un document de référence annuel reconnu

L’Indice mondial de l’innovation 2016 étudie les résultats en matière d’innovation de 128 économies représentant 92,8% de la population mondiale et 97,9% du PIB mondial (en dollars courants des États-Unis d’Amérique).  Les résultats de chaque pays sont évalués sur la base d’un grand nombre d’indicateurs qualitatifs et quantitatifs qui mesurent les moyens dont disposent les pays en matière d’innovation (notamment ce qu’ils font pour renforcer leurs écosystèmes d’innovation), et les produits de l’innovation (notamment leurs performances et leurs résultats dans ce domaine).  Ces indicateurs sont revus et actualisés chaque année afin de garantir l’évaluation la meilleure et la plus actuelle de l’innovation mondiale.

Si l’Indice mondial de l’innovation établit un classement évaluant les résultats en la matière dans les pays étudiés, il vise avant tout à donner une idée de la situation, à recenser les bonnes pratiques et à apporter un appui pratique aux décideurs et aux cadres d’entreprises dans les initiatives qu’ils mettent en place.  Cet indice, qui en est désormais à sa neuvième édition, est devenu un outil de référence de premier plan en matière d’innovation mondiale.

L’étude de cette année souligne les avantages mutuels d’une coopération internationale accrue en matière d’innovation.  L’innovation mondiale est souvent vue comme une proposition à somme nulle, les importations de produits technologiques ou de services de haute technologie étant considérées comme un coût.  L’Indice mondial de l’innovation montre, a contrario, que les investissements internationaux dans l’innovation ont véritablement le potentiel de compléter les systèmes nationaux et de stimuler la croissance économique à long terme.

“Il est essentiel d’investir dans l’innovation pour assurer une croissance économique sur le long terme”, explique le Directeur général de l’OMPI, Francis Gurry.  “Compte tenu du climat économique actuel, la priorité de toutes les parties prenantes doit être de trouver de nouvelles sources de croissance et d’exploiter les possibilités qu’offre l’innovation mondiale.”

L’innovation se mondialise, mais des disparités persistent

L’Indice mondial de l’innovation 2016 révèle un monde multipolaire de recherche et d’innovation, dans lequel cette dernière reste malgré tout concentrée en grande partie dans les économies à haut revenu et certaines économies à revenu intermédiaire.

Les 10 premiers pays du classement restent pour la plupart les mêmes qu’en 2015, la Suisse conservant sa première place pour la sixième année consécutive.  L’Allemagne est le seul pays à entrer dans les 10 premiers, alors que le Luxembourg, qui occupait la neuvième place l’année dernière, tombe à la douzième place.

Par ailleurs, pour la première fois, un pays à revenu intermédiaire, la Chine (25e place), monte sur le podium des 25 économies les plus innovantes.  La progression de la Chine illustre l’amélioration des performances du pays en matière d’innovation, particulièrement en ce qui concerne la qualité de son infrastructure d’innovation et ses investissements dans la recherche et le capital humain, ainsi que des aspects méthodologiques tels que l’utilisation d’indicateurs améliorés en matière d’innovation pour le calcul de l’indice.

Malgré la progression de la Chine et le fait que les décideurs aient de plus en plus conscience du rôle crucial de l’innovation dans la croissance économique, un écart important persiste entre les économies à revenu intermédiaire de la tranche supérieure et celles à revenu élevé.  De nombreuses économies à revenu intermédiaire de la tranche supérieure continuent de dépendre des transferts de technologie de pays à revenu élevé pour trouver des solutions à des problèmes essentiellement nationaux, par exemple dans les domaines de la santé et de l’énergie.

Sur une note plus optimiste, les économies à faible revenu continuent de réduire l’écart qui les sépare des économies à revenu intermédiaire en termes d’innovation, et certains pays qui ne font pas partie des 25 premiers du classement réalisent des performances supérieures à celles de leur groupe de revenu.  Ces “bons élèves en matière d’innovation” sont notamment de nombreuses économies d’Afrique, comme le Kenya, Madagascar, le Malawi, l’Ouganda et le Rwanda, ainsi que des économies d’autres régions, par exemple l’Arménie, l’Inde, le Tadjikistan et le Viet Nam.

Une meilleure diffusion des technologies vers les économies à revenus intermédiaire et faible et entre elles, grâce à un élargissement de la collaboration en matière d’innovation, contribuera à réduire encore cet écart.

Tirer parti de l’innovation mondiale pour stimuler la croissance

L’Indice mondial de l’innovation 2016 met l’accent sur le rôle central de l’investissement dans la recherche-développement (R-D) et de l’innovation pour la croissance économique.  Pour tous les pays affichant régulièrement de bons résultats ou enregistrant une amélioration de leurs performances en matière d’innovation, les dépenses et l’innovation en matière de R-D sont une des grandes priorités.

L’enjeu est de stimuler les performances d’autres économies en matière d’innovation.  Comment éviter de se fier aveuglément à une poignée de pays pour mener la croissance mondiale en matière de R-D?  Comment la R-D peut-elle être systématiquement étendue aux pays à revenus intermédiaire et faible, dans lesquels l’innovation fait cruellement défaut?

Le rapport suggère que la collaboration au niveau international représente une grande partie de la solution.  En intensifiant l’investissement public dans l’innovation, les décideurs peuvent stimuler la demande à court terme et améliorer le potentiel de croissance à long terme.  Investir dans l’innovation et renforcer la coopération entre les secteurs public et privé dans le domaine de la R-D à l’échelle mondiale est avantageux pour tous.  L’objectif doit être de stimuler la coopération mondiale en matière d’innovation au moyen de mécanismes de gouvernance plus ouverts, qui soutiennent la diffusion des connaissances et des idées par-delà les frontières.

L’Indice mondial de l’innovation 2016 appelle à adopter un nouvel état d’esprit en matière d’innovation mondiale, fondé sur des politiques d’innovation avisées et ouvertes sur le monde.  D’après le rapport, cela permettra aux entreprises de bénéficier d’un potentiel encore inexploité en matière d’innovation mondiale tout en aidant à apaiser les sentiments croissants de nationalisme et d’isolationnisme.

Pour les décideurs, il est essentiel de faciliter le développement de la collaboration internationale et de compléter les approches tournées vers l’intérieur par des approches ouvertes sur l’extérieur afin d’assurer un succès durable en matière d’innovation.  De même, pour réussir, les entreprises doivent simultanément renforcer les capacités mondiales en R-D et mettre au point des solutions localisées en réponse aux besoins des consommateurs locaux.

L’innovation est un bien public mondial : peu importe qui investit massivement en faveur des progrès scientifiques ou des innovations, les résultats s’étendent généralement bien au-delà des frontières pour enrichir d’autres pays.  De la même manière, les politiques nationales d’innovation de différents pays – dont les innovateurs et les entreprises sont souvent en concurrence – ont généralement des effets positifs.

Créer des systèmes d’innovation sains : pas de formule magique

Pour créer des systèmes d’innovation efficaces, il n’y a pas de solution miracle.  L’établissement de systèmes d’innovation reposant sur des intrants fiables, des débouchés intéressants, un secteur entrepreneurial florissant et des liens solides entre les acteurs de l’innovation est un processus complexe.

Et la question de savoir comment créer des systèmes d’innovation intégrés et autoentretenus représente un dilemme tenace pour les gouvernements.  D’un côté, il est aujourd’hui admis que les gouvernements jouent un rôle important dans la production d’innovations.  De l’autre côté, s’ils se fixent des objectifs trop ambitieux, ils risquent de gêner l’avènement de systèmes d’innovation intégrés et autoentretenus.

Fournir suffisamment d’espace à l’esprit d’entreprise et à l’innovation, les incitations appropriées et une certaine “liberté de fonctionnement” qui remette en cause l’ordre établi sont des éléments qui font également partie de l’équation.  Il n’a jamais été aussi difficile de trouver le bon équilibre.

Entretenir l’élan observé en Afrique subsaharienne

Depuis quelques années, l’Indice mondial de l’innovation suit les résultats positifs en matière d’innovation de pays d’Afrique subsaharienne, région qui abrite depuis 2012 plus de bons élèves en matière d’innovation que toute autre région.  Le Kenya, Madagascar, le Malawi, le Mozambique, l’Ouganda et le Rwanda – souvent des pays importateurs de pétrole – obtiennent de meilleurs résultats que ce que leur niveau de développement laisserait présager.  Mais cette tendance n’est pas uniforme dans la région et il n’y a aucune garantie qu’elle se poursuive.  Si le ralentissement économique prévu en Afrique a lieu, les économies du continent devront redoubler d’efforts pour maintenir la dynamique actuelle en matière d’innovation et réduire leur dépendance à l’égard des revenus du pétrole et des matières premières.

Le potentiel inexploité de l’Amérique latine

L’Amérique latine possède un important potentiel en matière d’innovation, mais l’analyse de l’Indice mondial de l’innovation suggère que peu de progrès ont été réalisés pour ce qui est d’exploiter ce potentiel.  Dans l’Indice mondial de l’innovation 2016, le Chili, la Colombie, le Costa Rica, le Mexique et l’Uruguay sont les pays de la région les mieux classés, mais aucun pays ni aucune économie d’Amérique latine ne figure parmi les bons élèves en matière d’innovation.  Même si le programme d’innovation reste une priorité importante, la région a été plongée dans une crise économique importante.  Dans ce contexte, il sera très important pour ces économies de surmonter les obstacles politiques et économiques sur le court terme et de s’accrocher fermement à leurs engagements et objectifs à long terme en matière d’innovation.  Une coopération régionale accrue dans les domaines de la R-D et de l’innovation pourrait faciliter ce processus.

Amérique du Nord

Occupant la quatrième place de l’Indice mondial de l’innovation 2016, les États-Unis d’Amérique restent l’un des pays les plus innovants au monde.  Ses points forts résident dans le nombre d’entreprises œuvrant dans la R-D à l’échelle internationale, les dépenses en logiciels et les pôles technologiques.  Le Canada, qui occupe la 15e place, se situe dans le haut du classement grâce à la simplicité du processus de création d’entreprise et à la créativité en ligne.  Si les deux pays obtiennent de bons résultats en termes de perfectionnement de leurs marchés financiers (notamment en ce qui concerne le capital-risque) et de l’importance de leurs universités ainsi que de leurs publications scientifiques, ils ont encore des progrès à faire dans l’amélioration de l’investissement et de la productivité à l’échelle macroéconomique, essentiels à la croissance future.

Asie centrale et du Sud

Six des 10 économies de cette région se sont hissées dans le classement des 100 premiers pays en 2016.  L’Inde, qui occupe la 66e place, reste la première d’entre elles, obtenant un score élevé grâce à la qualité de ses universités, de ses publications scientifiques et de la R-D, ainsi qu’au perfectionnement du marché et à l’exportation de services en matière de TIC, où elle se classe au premier rang mondial.  Le Kazakhstan, qui arrive en 75e position, est le deuxième pays de la région, suivi de la République islamique d’Iran (78e), du Tadjikistan (86e), de Sri Lanka (91e) et du Bhoutan (96e).

Afrique du Nord et Asie occidentale

Sur les cinq pays de cette région les mieux classés, deux sont membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) : les Émirats arabes unis (41e) et le Royaume d’Arabie saoudite (49e).  Cela illustre le fait que beaucoup de pays membres du CCG sont en train de diversifier leur économie pour ne pas se limiter à la production de pétrole et se tourner vers des sources de croissance davantage fondées sur l’innovation.

Israël (21e) et Chypre (31e) décrochent les deux premières places de la région pour la quatrième année consécutive.

Asie du Sud-Est et Océanie

Les 14 économies de la région figurent parmi les 100 premiers pays mondiaux de l’Indice mondial de l’innovation 2016.  Les sept premiers pays de la région – à savoir Singapour (6e), République de Corée (11e), Hong Kong (Chine) (14e), Japon (16e), Nouvelle-Zélande (17e), Australie (19e) et Chine (25e) – font partie des 25 premières économies du classement.  Les meilleurs résultats moyens de la région concernent le taux d’encadrement des élèves et la croissance de la productivité.  En revanche, les conclusions de l’étude indiquent que des progrès restent à faire en termes de R-D financée par les entreprises étrangères, d’exportations et d’importations de services en matière de TIC et de recettes tirées de la propriété intellectuelle.

Europe

Selon l’Indice mondial de l’innovation 2016, 15 des 25 pays les plus innovants, notamment les trois premiers (Suisse, Suède et Royaume-Uni), sont situés en Europe.

L’Europe bénéficie d’institutions comparativement fortes et d’une infrastructure bien développée, tandis que des améliorations sont possibles en ce qui concerne le perfectionnement des entreprises et la production intellectuelle et technologique.  L’Europe obtient d’excellents résultats en particulier ce qui concerne les performances environnementales, l’accès aux TIC et l’espérance de vie scolaire.

La qualité est essentielle

L’Indice mondial de l’innovation 2016 propose une approche globale afin d’évaluer les performances en matière d’innovation.  Il se détache des indicateurs purement quantitatifs afin de se concentrer sur la qualité de l’innovation.  La qualité est ce qui caractérise les leaders en matière d’innovation comme l’Allemagne, les États-Unis d’Amérique, le Japon et le Royaume-Uni.

Le secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, a qualifié cet indice d’“outil exceptionnel pour affiner les politiques relatives à l’innovation […], brosser un tableau précis du rôle joué par la science, la technologie et l’innovation dans le développement durable”.  Les enseignements tirés de l’Indice mondial de l’innovation 2016 aideront les décideurs et les chefs d’entreprise à améliorer la qualité de l’innovation dans le monde entier.

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