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Présentation de la nouvelle équipe de haute direction

Février 2010

L’OMPI a accueilli le 1er décembre 2009 sa nouvelle équipe de haute direction, composée de quatre vice-directeurs généraux et trois sous-directeurs généraux qui ont pris leurs fonctions suite à l’expiration du mandat de l’équipe sortante. trois d’entre eux étaient déjà au service de l’Organisation, et les quatre autres sont de nouveaux arrivants. Les nominations ont été approuvées par les États membres en juin 2009, lors de la réunion du Comité de coordination qui a souscrit aux propositions présentées par M. Francis Gurry, directeur général de l’OMPI. 

L’équipe de haute direction de l’Organisation est ainsi formée de sept vice-directeurs généraux et sous-directeurs généraux et du directeur exécutif du Cabinet du directeur général (chef de cabinet). Elle est chargée d’aider le directeur général dans l’orientation stratégique des programmes de l’OMPI, la gestion des budgets, activités et ressources humaines et financières des différents secteurs de l’Organisation dans le cadre des plans de travail convenus et l’obtention de résultats conformes aux neuf objectifs stratégiques de l’OMPI. 


(Photo: OMPI/Migliore)

M. Geoffrey Onyeama,
vice-directeur général,
Secteur de la coopération pour le développement  

M. Onyeama (Nigéria) est au service de l’OMPI depuis 24 ans. Arrivé en 1985, il a été nommé directeur du Bureau de la coopération pour le développement avec l’Afrique en 1999, puis en décembre 2006, sous-directeur général responsable du secteur de la coordination concernant les relations extérieures, le monde de l’entreprise, les communications et la sensibilisation du public. Il avait travaillé auparavant pour la Commission de réforme juridique du Nigéria et exercé la profession d’avoué et d’avocat auprès de la Cour suprême du Nigéria.

 M. Onyeama dirigera désormais le secteur de la Coopération pour le développement, qui comprend maintenant les programmes de l’OMPI pour la coordination du Plan d’action pour le développement, la coopération avec l’Afrique, les pays arabes, l’Asie et le Pacifique, l’Amérique latine et les Caraïbes, les pays les moins avancés (PMA), ainsi que l’Académie de l’OMPI. L’objectif principal de ce secteur est de faire en sorte que les pays en développement et les PMA tirent un plus grand parti des avantages de l’innovation et de l’économie du savoir.

M. Onyeama observe que la plupart des pays en développement ont maintenant des lois de propriété intellectuelle modernes, des offices de propriété intellectuelle fonctionnels, des institutions de recherche respectées et des industries créatives dynamiques. Tous disposent en outre d’une abondance d’entrepreneurs pleins de ressources, d’esprits inventifs, de savoirs traditionnels, de biodiversité, d’expressions culturelles, de créateurs pleins d’imagination et de produits agricoles divers. Il pense par conséquent que tous les éléments sont en place pour permettre aux responsables politiques des pays en développement d’élaborer des stratégies et des politiques utilisant la propriété intellectuelle comme moyen d’assurer à leurs pays une véritable croissance économique, technologique et culturelle. “Les pays en développement, souligne-t-il, ont vu à quel point l’utilisation stratégique de la propriété intellectuelle avait contribué à la croissance spectaculaire de pays peu pourvus, voire dépourvus de ressources naturelles. Ils ont la capacité de faire de même, et ils y réussiront.”

S’agissant de l’objectif stratégique de “favoriser l’utilisation de la propriété intellectuelle au service du développement”, M. Onyeama estime que les principaux défis à relever pour le réaliser se situent dans l’établissement d’une collaboration efficace avec les pays en développement en vue de l’élaboration de politiques de propriété intellectuelle et de plans stratégiques constituant un cadre cohérent pour la coopération entre l’OMPI et ces pays et, à l’intérieur de ce cadre, dans la mise au point et l’exécution de projets soumis à des échéanciers clairs et des cibles concrètes et mesurables, prenant véritablement en compte les objectifs de développement des pays. 


(Photo: OMPI)

M. James Pooley,
vice-directeur général,
Secteur des brevets

M. Pooley (États-Unis d’Amérique) arrive à l’OMPI fort d’une vaste expérience de la pratique du droit de la propriété intellectuelle dans le privé. Sa carrière juridique a débuté en Californie en 1973, juste à l’époque où Silicon Valley commençait à attirer les innovateurs et entrepreneurs en haute technologie, et il était avant sa nomination à l’OMPI associé du cabinet Morrison & Foerster LLP. En plus d’avoir beaucoup enseigné et publié, il a été membre ou président de nombreuses associations professionnelles et commissions, dont notamment l’Association américaine du droit de la propriété intellectuelle (AIPLA), le National Inventors Hall of Fame et le comité sur les droits de propriété intellectuelle de la National Academy of Sciences. Son implication dans le mouvement scout est également une constante de sa vie personnelle. 

M. Pooley est chargé du secteur des brevets, ce qui recouvre les programmes de l’OMPI en matière de droit des brevets – et notamment le soutien aux travaux du Comité permanent du droit des brevets (SCP) – ainsi que l’administration du Traité de coopération en matière de brevets (PCT), qui emploie 33% du personnel de l’Organisation et génère environ 73% de ses revenus.

M. Pooley explique qu’il s’attachera prioritairement à poursuivre l’amélioration et l’expansion du PCT, de manière à ce qu’il bénéficie à l’ensemble de ses utilisateurs, et à soutenir sans réserve les États membres dans la recherche d’une manière équilibrée et productive de poursuivre les activités d’établissement de normes. Il espère pouvoir réaliser ces objectifs en mettant l’accent sur le service à la communauté des utilisateurs du PCT et la sensibilisation de ces derniers (certaines initiatives particulièrement prometteuses sont déjà en cours à cet égard), ainsi qu’en favorisant la poursuite de l’instauration d’un climat de confiance au sein du SCP. “Le SCP progressera si le débat est respectueux, car c’est ce qui permet de faire apparaître les domaines d’intérêt commun” précise-t-il. 


(Photo: OMPI)

Mme Binying Wang,
vice-directrice générale,
Secteur des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques 

Mme Wang (Chine) est entrée à l’OMPI en 1992, au Bureau de la coopération pour le développement avec l’Asie et le Pacifique, et a occupé plusieurs postes de haut niveau au sein du Cabinet du directeur général avant d’être nommée sous-directrice générale en décembre 2006. Avant de se joindre à l’OMPI, Mme Wang a occupé différents postes au sein du gouvernement chinois et dirigé le Service chinois des marques, qui dépendait alors de l’Administration d’État pour l’industrie et le commerce (SAIC). 

Mme Wang prend la responsabilité du Secteur des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques. Outre un rôle d’appui aux travaux des États membres au sein du Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques (SCT), ce secteur assure l’administration du Système de Madrid concernant l’enregistrement international des marques, du Système de La Haye concernant l’enregistrement international des dessins et modèles industriels et du Système de Lisbonne pour l’enregistrement international des appellations d’origine.

“La tâche à accomplir, explique Mme Wang, sera de continuer à améliorer le fonctionnement des trois systèmes d’enregistrement de manière à ce que les parties prenantes reçoivent des services efficaces, économiques, faciles à utiliser et à exploiter, dotés de mécanismes permettant d’en contrôler la qualité”. Elle précise également que le secteur poursuivra son étroite collaboration avec le SCT sur un certain nombre de questions d’actualité. 


(Photo: OMPI/Migliore)

M. Johannes Christian Wichard,
vice-directeur général,
Secteur des questions mondiales

 

M. Wichard (Allemagne) était précédemment directeur général adjoint chargé du droit commercial et économique au Ministère de la justice de la République fédérale d’Allemagne, où il avait la responsabilité de tous les aspects de la politique gouvernementale en matière de propriété intellectuelle. Il a travaillé à l’OMPI de 1998 à 2006, au sein de la division du droit de la propriété industrielle ainsi qu’au Centre d’arbitrage et de médiation de l’OMPI. 

M. Wichard dirigera le secteur nouvellement créé des questions mondiales. Ce secteur regroupe un certain nombre de programmes consacrés à des questions horizontales et intersectorielles telles que Savoirs traditionnels, expressions culturelles traditionnelles et ressources génétiques, Arbitrage, médiation et noms de domaine, Coopération avec certains pays d’Europe et d’Asie, Économie et statistiques, Petites et moyennes entreprises (PME), Promouvoir le respect de la propriété intellectuelle, le nouveau programme Propriété intellectuelle et défis mondiaux, Communications et Relations extérieures.

Pour M. Wichard, l’enjeu primordial pour ce secteur sera de rétablir l’OMPI dans sa position de première instance intergouvernementale en matière de politique internationale de propriété intellectuelle. Il explique que les programmes du secteur des questions mondiales ont tous un rôle déterminant à jouer dans la réalisation de cet objectif, par exemple en facilitant les négociations sur l’élaboration d’un instrument juridique de protection des savoirs traditionnels, des expressions culturelles traditionnelles et des ressources génétiques, en apportant une information objective concernant les aspects économiques de la protection de la propriété intellectuelle, en dialoguant plus efficacement avec d’autres organisations intergouvernementales et des organisations non gouvernementales, et en participant activement à des débats sur les grands défis auxquels fait face l’humanité, notamment le développement économique, les changements climatiques, la santé publique et la sécurité alimentaire. 

(Photo: OMPI/Migliore)

M. Trevor C. Clarke,
sous-directeur général,
Secteur du droit d’auteur 

M. Clarke (Barbade) se joint à l’OMPI après six années au poste d’ambassadeur à la Mission permanente de la Barbade auprès de l’Office des Nations Unies et des autres organisations internationales à Genève. Il a connu auparavant une brillante carrière de plus de 40 ans au sein de la multinationale britannique Cable & Wireless, dans les domaines de la gestion et de l’ingénierie des télécommunications. Il a joué un rôle central dans les négociations avec les gouvernements qui ont mené à la libéralisation des marchés des télécommunications, à la Barbade et dans d’autres pays de l’Organisation des États des Antilles orientales et de la région des Caraïbes. 

M. Clarke dirige les activités très diverses de l’OMPI dans le domaine complexe du droit d’auteur et des droits connexes, qui vont du soutien aux travaux d’établissement de normes des États membres dans le cadre du Comité permanent du droit d’auteur et des droits connexes (SCCR) à des activités en matière de renforcement des capacités, de sensibilisation et d’infrastructures.

M. Clarke explique qu’il a pour priorité d’aider le directeur général à “construire une Organisation mieux à même de relever les multiples défis posés au fonctionnement du système de la propriété intellectuelle dans un environnement en constante mutation”. Il considère, à cet égard, comme essentiel le rôle des travaux de l’OMPI sur le droit d’auteur et les droits connexes. Il souligne le défi que représente une gestion conforme aux attentes des États membres dans un contexte de réduction des recettes où les ressources de l’OMPI sont de plus en plus sollicitées. Ces attentes concernent notamment le renforcement de la fondation normative pour que l’Organisation conserve son rôle de chef de file et d’autorité mondiale en matière de droit d’auteur, la mise en œuvre de méthodes novatrices pour répondre aux exigences actuelles des États membres et l’établissement d’un plan de route pour guider l’OMPI à travers les sables mobiles de l’avenir numérique du droit d’auteur. 


(Photo: OMPI/Migliore)

M. Ambi Sundaram,
sous-directeur général,
Secteur de l’administration et de la gestion

M. Sundaram (Sri Lanka) apporte à l’OMPI plus de 30 ans d’expérience dans les domaines de l’administration publique et de la gestion. Il était précédemment directeur du Département du soutien et des services opérationnels de l’Organisation mondiale de la santé, où il était entré en 1979 après des débuts en tant que conseiller en gestion auprès de la firme Arthur Andersen & Co. (Royaume-Uni). 

L’importante réorganisation entreprise dans le cadre du programme de réorientation stratégique de l’OMPI a réuni au sein du secteur dirigé par M. Sundaram l’ensemble des programmes se rapportant à l’administration et à la gestion de l’Organisation, soit Gestion des finances, du budget et du programme, Gestion et mise en valeur des ressources humaines, Services d’appui administratif, Techniques de l’information et de la communication, Services des conférences et services linguistiques, Sécurité et Construction.

M. Sundaram souligne que son secteur aura un rôle essentiel dans la réalisation des objectifs consistant à faire naître une culture d’entreprise centrée sur les résultats et le service à la clientèle et assurer que les procédures essentielles d’administration et de gestion soient efficaces, dynamiques, axées sur le service et efficientes. 


(Photo: OMPI/Migliore)

M. Yoshiyuki (Yo) Takagi,
sous-directeur général,
Secteur de l’infrastructure mondiale en matière de propriété intellectuelle 

Depuis son entrée à l’OMPI en 1994, M. Takagi (Japon) a été directeur de plusieurs divisions, et en dernier lieu, du nouveau Département de l’infrastructure mondiale en matière de propriété intellectuelle qu’il a lui-même établi. Sa carrière a débuté en 1979 à l’Office des brevets du Japon, et il a participé, au service du Ministère japonais des affaires étrangères, à de nombreuses réunions de l’OMPI ainsi qu’aux négociations de l’Accord sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (Accord sur les ADPIC). 

M. Takagi dirige le Département de l’infrastructure mondiale en matière de propriété intellectuelle, établi aux fins de la réalisation du nouvel objectif stratégique de “coordination et développement de l’infrastructure mondiale en matière de propriété intellectuelle” de l’OMPI. Le travail de ce secteur réunit certains services essentiels et ressources stratégiques de l’OMPI, et assure la coordination et l’élaboration de nouveaux composants, dans le but de faciliter le partage des connaissances et de fonder durablement des infrastructures du savoir susceptibles d’appuyer la protection et l’exploitation des actifs et informations de propriété intellectuelle par tous les pays. Les programmes couverts par le secteur sont les systèmes des classifications internationales, les normes de propriété industrielle de l’OMPI, les services mondiaux d’information en matière de propriété intellectuelle et la modernisation de l’infrastructure des offices de propriété intellectuelle.

Ayant aidé un certain nombre d’offices de propriété intellectuelle à faire la transition d’un système sur papier vers un système informatisé alors qu’il dirigeait le Comité permanent chargé de l’information en matière de propriété industrielle, M. Takagi a une vision précise de la voie à suivre. “L’interconnexion des systèmes, observe-t-il, a bénéficié récemment de progrès technologiques tels que moteurs de recherche intelligents, outils analytiques et multilingues ou plates-formes communes de partage des connaissances en matière de propriété intellectuelle, qui faciliteront la création d’une infrastructure mondiale favorisant une collaboration plus étroite et ouverte entre les offices de propriété intellectuelle.” 


(Photo: OMPI)

M. Naresh Prasad,
chef de cabinet 

L’équipe de haute direction comprend le directeur exécutif du Cabinet du directeur général (chef de cabinet), M. Naresh Prasad (Inde), qui a été nommé le 11 mai 2009. M. Prasad a fait une brillante carrière dans le service le plus prestigieux de la fonction publique indienne, l’Indian Administrative Service, où il compte quelque 30 ans d’expérience à des postes de niveau national et international. Cela comprend notamment plus de 10 années comme haut fonctionnaire du Ministère indien du commerce et de l’industrie, les quatre dernières en tant que coordonnateur des questions de propriété intellectuelle pour l’Inde. M. Prasad a également passé trois ans au service de l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI). Il a assumé les fonctions de négociateur principal de l’Inde pour les questions de propriété intellectuelle auprès de plusieurs instances bilatérales et multilatérales. 

Le Cabinet du directeur général est responsable de la planification stratégique globale et de la coordination efficace des activités d’appui aux objectifs de l’OMPI, tant entre les secteurs internes qu’entre le Secrétariat et ses États membres ainsi que les autres parties prenantes extérieures. “Mon but, explique M. Prasad, est de veiller à la réalisation, dans le respect de l’esprit et de la lettre, des priorités et objectifs fixés par le directeur général.” 

Le Magazine de l’OMPI vise à faciliter la compréhension de la propriété intellectuelle et de l’action de l’OMPI parmi le grand public et n’est pas un document officiel de l’OMPI. Les désignations employées et la présentation des données qui figurent dans cette publication n’impliquent de la part de l’OMPI aucune prise de position quant au statut juridique des pays, territoires ou zones concernés ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites territoriales. Les opinions exprimées dans cette publication ne reflètent pas nécessairement celles des États membres ou du Secrétariat de l’OMPI. La mention d’entreprises particulières ou de produits de certains fabricants n’implique pas que l’OMPI les approuve ou les recommande de préférence à d’autres entreprises ou produits analogues qui ne sont pas mentionnés.